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Jardin : la vie dans le sol

Retour sur les bons conseils donnés par le magazine Jardin & Nature en mars dernier sur l’importance de prendre soin du sol et des micro-organismes qui le font vivre. Ces micro-organismes, de par leurs rôles, sont les véritables artisans de la vie des sols. Ils aident à l’implantation de nouvelles pousses, à l’aération de la terre, à l’équilibre de la nutrition des plantes… Dans ce bel article, le magazine Jardin & Nature vous donnent toutes les explications. 

Quelle importance des micro-organismes qui vivent dans le sol pour réussir nos plantations ?

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“La première chose à comprendre c’est que ces micro-organismes sont les véritables artisans de la vie. Il ne faut pas oublier que la vie sur Terre a démarré avec toutes ces bactéries et champignons qui peuplent les sols. La graine ne parvient à s’installer que si le sol est biologiquement équilibré. La graine qui arrive dans cette faune et cette flore sauvages qui peuplent le sol, doit trouver des conditions favorables à son alimentation et à sa croissance. Et la qualité du sol dépend de son aération. Un sol qui est bien aéré, c’est-à-dire qui est peuplé de micro-organismes vivants, permet à la plante de bien absorber l’eau, et ensuite les nutriments qui sont dans le sol. Autrement dit, quand le sol est bien aéré la plante parvient à bien se nourrir de façon naturelle, et adaptée à ses propres besoins. Rajouter des engrais chimiques ne sert à rien si la plante ne parvient pas à les absorber, à « s’alimenter ». C’est comme pour l’être humain qui peut avaler une grande quantité de nourriture sans pouvoir en profiter : son organisme ne parvient pas à absorber les nutriments s’il ne dispose pas de certaines enzymes ou vitamines (la vitamine D par exemple pour fixer le calcium). Autrement dit, il ne suffit pas de déverser des produits dans le sol… il faut comprendre comment fonctionne la vie dans la terre, quels sont les principes de cet équilibre, afin d’agir de manière intelligente.

Tous les jardiniers peuvent faire ce petit test, prendre la terre dans le creux de la main et la sentir… Si ça sent mauvais, si ça sent le pourri c’est que le sol manque d’aération. Il est trop humide, il n’y a pas suffisamment de micro-organismes permettant d’aérer la terre. C’est un milieu anaérobique, vivant en l’absence d’oxygène. Un sol bien structuré et bien aéré, quand on l’ouvre on sent le sous-bois, on sent le champignon, car ce sont essentiellement les champignons qui font l’humus. Chaque jardinier peut faire ce petit test, sentir l’odeur de sa terre, pour savoir si elle est bien aérée ou pas, s’il y a de l’humus ou pas.”

Quels produits proposez-vous pour dynamiser les micro-organismes permettant d'aérer le sol de façon naturelle ?

“On propose l’éco-fertilisant BACTÉRIOSOL, qui est un amendement organique spécifique qui se base sur les Technologies Marcel MEZY. Marcel MEZY a pris différentes plantes qu’il a compostées pour réaliser un cocktail de micro-organismes, plus de 28.000 souches de champignons, bactéries, etc. Ces micro-organismes, grâce à leur diversité et à leur complémentarité, peuvent s’installer dans tous les types de sol. Grâce à l’ensemencement de champignons, l’éco-fertilisant BACTÉRIOSOL aide le sol à fabriquer de l’humus assez rapidement, en tout cas beaucoup plus rapidement que le délai requis par mère nature. Ce qui est très utile notamment si on ne parvient pas à respecter un délai suffisamment long entre les cultures…il faut savoir que si on plante des tomates par exemple au même endroit plusieurs fois de suite, le sol sera fatigué et sera contaminé par des bactéries ou champignons qui apporteront des maladies. Il faut pour cela respecter le principe de rotation des cultures, avec un délai théorique de 4 à 5 ans…”

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C’est difficile dans la pratique pour un jardinier d'attendre de 4 à 5 ans pour replanter des tomates cerises, pour la salade...

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“Effectivement, c’est pour cela que, l‘éco-fertilisant BACTÉRIOSOL est très utile. Il permet d’accélérer naturellement le travail de la terre, en lui apportant cette population de micro-organismes diversifiés. Et grâce à cela le sol fabrique de l’humus assez rapidement. Ainsi, grâce à cet humus, il y aura une optimisation de l’apport en eau. L’humus va absorber (retentir) ou drainer l’eau, selon le cas. L’humus va aussi attirer (comme un aimant), les minéraux qui sont déjà dans le sol afin de nourrir la plante. Les minéraux sont présents dans la matière organique mais la plante a besoin des bactéries et des champignons qui fabriquent des acides puissants permettant de libérer les minéraux, de les rendre disponibles pour nourrir la plante.

C’est en cela que l’humus joue un rôle très important dans la nutrition de la plante. C’est un peu le grenier du sol… Nous on va faire les courses et on stocke notre nourriture dans le placard ou le réfrigérateur, pour nous servir au fur et à mesure. C’est pareil pour la plante qui va se servir dans l’humus en fonction de ses besoins. La terre est vivante, elle est vivante à travers les milliards de micro-organismes qui vivent en elle, qui structurent et aèrent le sol, pour permettre à la végétation de se développer de manière optimale. Il faut prendre le temps de découvrir cette intelligence des sols pour ne pas les abîmer en déversant des produits chimiques à tout-va.”

– Propos recueillis par Sondes KHALIFA, pour le magazine Jardin & Nature N°143 – 

FAQ

La rotation au potager, aussi appelée assolement, n’a pas que l’avantage de préserver et d’optimiser la qualité de la terre. Elle permet également de limiter le développement des maladies.

Quatre à cinq années de rotation sont nécessaires au jardin. Distinguez les végétaux par famille : légumes feuilles, légumes racines, légumes graines et légumes fruit ; de manière à les alterner d’une année à l’autre.